mardi 22 avril 2008

alors...

Pour commencer, je remercie encore mes deux principaux interlocuteurs. Arnaud, et Nico.
Ensuite, je m'en vais répondre.
Pour commencer, la phrase de Marx sur l'opium du peuple, est très bien employé. Ce besoin impérieux de sentir quelque chose au dessus de soi, (on laisse les pervers dehors s'il vous plait), est quasiment un atavisme chez l'homme. Alors, on peux penser comme un certain Freud, que c'est une recherche du père, un géniteur à jamais hors d'atteinte et donc incapable de décevoir (même lorsqu'il n'est pas là, ça fait partis de son plan). Ou alors, on peux chercher une cause plus terre à terre. Ce qui me fait rebondir (le premier qui dit que j'ai grossis, je le préviens je lui mord l'oeuil!) sur le sujet de Nico; lorsque l'on parle de libre arbitre, on peut évidemment considérer tout les aspects que Nico a présenter; mais soyons plus....précis. Imaginez, que nos comportements, nous soient dictés, par les "caprices" de la physique; si le cerveaux est électro-chimique (et c'est le cas), alors il concevable, que ses actions, ou du moins sont fonctionnement, n'ai pas plus de chance d'être aléatoire, que le courant n'a de chance de quitter le cable à haute tension qui le contient. En d'autres termes, ne sommes nous pas les jouets d'un effroyable déterminisme électro-chimique? Et que deviens ce déterminisme appliquer au macro-univers? A l'heure d'aujourd'hui, deux physiques se battent pour expliquer l'infinimant petit et le grand, chacune y parvenant dans son domaine, mais pas dans l'autre;
L'homme peut il faire l'economie de ne se voir "que", comme un maillon de cette chaine? doit-il se croire libre? est-ce ce déterminisme qui ancre en nous l'idée de Dieu?
A vos neurones, répondez moi!

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