dimanche 11 mai 2008

tribus?

a quoi voit on son appartenance a un groupe? aux soi-disant amis que l'on s'y fait? au nombre de relation intimes (sexuelles ou non) que l'on a? aux nombres de ragots incessants qui vous poursuivent même des années aprés? ce refus de voir que vous vous améliorez, est il une conséquence des relations intimes? sommes nous prisonniers de l'image à jamais figée dans notre esprit des gens que nous rencontrons?

mercredi 30 avril 2008

eviter le mal de tête a nico

Bon, puisque le précédent sujet n'as pas fait l'unanimité, je m'en vais vous prendrre la tête, (surtout a Nico, sur autre chose;
Que pensez vous du fait que ce qui est généralement considéré comme "les bonnes manières", du moins en France, soit une contrariété quasi systématique, des fonctions naturelles du corps.
Nous feront l'impasse sur les dégagement de gaz intempestifs ne relevant pas, (ou peu dans le cas d'Alain), de notre volonté, mais nous nous intéresserons surtout à des manifestations telles que le levé de petit doigt lors de la prise d'une tasse, (pour de plus amples informations, ou un cours de manières de société, s'adresser à Melle P d'Aix-en-Pce).
Voila, a vous!

mardi 22 avril 2008

alors...

Pour commencer, je remercie encore mes deux principaux interlocuteurs. Arnaud, et Nico.
Ensuite, je m'en vais répondre.
Pour commencer, la phrase de Marx sur l'opium du peuple, est très bien employé. Ce besoin impérieux de sentir quelque chose au dessus de soi, (on laisse les pervers dehors s'il vous plait), est quasiment un atavisme chez l'homme. Alors, on peux penser comme un certain Freud, que c'est une recherche du père, un géniteur à jamais hors d'atteinte et donc incapable de décevoir (même lorsqu'il n'est pas là, ça fait partis de son plan). Ou alors, on peux chercher une cause plus terre à terre. Ce qui me fait rebondir (le premier qui dit que j'ai grossis, je le préviens je lui mord l'oeuil!) sur le sujet de Nico; lorsque l'on parle de libre arbitre, on peut évidemment considérer tout les aspects que Nico a présenter; mais soyons plus....précis. Imaginez, que nos comportements, nous soient dictés, par les "caprices" de la physique; si le cerveaux est électro-chimique (et c'est le cas), alors il concevable, que ses actions, ou du moins sont fonctionnement, n'ai pas plus de chance d'être aléatoire, que le courant n'a de chance de quitter le cable à haute tension qui le contient. En d'autres termes, ne sommes nous pas les jouets d'un effroyable déterminisme électro-chimique? Et que deviens ce déterminisme appliquer au macro-univers? A l'heure d'aujourd'hui, deux physiques se battent pour expliquer l'infinimant petit et le grand, chacune y parvenant dans son domaine, mais pas dans l'autre;
L'homme peut il faire l'economie de ne se voir "que", comme un maillon de cette chaine? doit-il se croire libre? est-ce ce déterminisme qui ancre en nous l'idée de Dieu?
A vos neurones, répondez moi!

vendredi 11 avril 2008

inquiétant ou rassurant?

Qu'en est il de l'existence ou de la non existence du libre arbitre selon vous? déterminisme ou liberté?

et de trois!

on remercie Arnaud pour son commentaire sur la mythologie, on commençait à se sentir un peu seul sur ce blog. Enfin, je répond donc: le mot morale, employé par Arnaud au sens commun, est, il me semble, inaproprié. Les mythologies, si elle reflètent en effet certaines moeurs, n'ont eu que trés peu pour but, à mon sens, de développer une morale; je m'explique: les personnages, quoique fortement anthropomorphiques, sont d'attributs tels, que les lois qui les régissent, n'ont pas, ou très peu, de rapport avec celle des hommes (Aristote les aurais sans doutes situés dans la sphère celestes, si ce n'est celles des idées), mais, dans notre monde, (sublunaire), les contraintes sont puissantes. Dés lors, il me semble que les mythes ont plus pour vocation de transcender la nature de l'inconscient collectif par la création d'actes hors de la portée des hommes, que comme véritable morale. Et, tout ce qui fait leur humanité, leur déboires et autres "affaires humaines" ne vise qu'a faciliter l'identification par les hommes à leur héros.
Il est à noter, qu'on peut signaler aussi le rôle rassurant des mythologie dans les sociétés humaines, en tant que vecteur de compréhension du monde extérieur. La foudre pour Zeus, la mort pour Héla, la création pour Shiva (non ce n'est pas une marque de Whisky!), autant de paramètres mystiques pour nos ancêtres, qui ont presque tous disparu avec l'avènement de la science.
Cette disparition etait-elle cependant souhaitable? n'avons nous rien perdu en route?

mardi 8 avril 2008

perception et idées

peut on imaginer des choses que nos sens ne nous ont pas deja montrées? un aveugle peut il imaginer le bleu? un sourd une symphonie? un agueusique une saveur? quelqu'un sans odorat une odeur? si oui, d'ou viennent ces "images"? parquel(s) processus apparaissent-elles dans notre esprit? sinon, qu'appelons-nous de fait imagination? comme Descartes un assemblage de parties du réel dans un ordre nouveau?
Essayez d'imaginer quelque chose d'entièrement dépourvu de caractères sensoriellement acquis (sans saveur, odeur, couleur, étandue/densité); y arrivez-vous?

dimanche 6 avril 2008

c parti?

pour commencer je remercie les deux qui m'ont repondu, Nico et Sandra, merci a vous; ensuite, je me repond a moi même: l'euthanasie doit elle etre vue comme un meutre ou comme l'ultime acte d'amour? peut -on la rapprocher de la cérémonie arakishi au cour duquel un samourai tranche la tête de celui qui met fin a sa vie pour lui épargner le déshonneur d'une mort honteuse et hésitante?
Peut-on, (et doit-on) se débarrasser des préjuger judéo-chrétiens sur le caractère sacré de la vie humaine? et si oui, par quoi doit on remplacer ces considération pour parrer a la dérive humaine?
Autant de questions je pense, vous laisse libre de réfléchir; j'attends vos réactions.